Il y a des cheveux. Des cheveux longs, qui volent partout sans se soucier de ce qu'ils touchent et de se qui colle.
Il y a des doigts dans ces cheveux. Ça les démêlent, les fait bouger de plus en plus.
Il y a une tête qui bouge en cadence. ou pas.
Il y a ce visage qui se couvre de cheveux en accord avec la tête ou les doigts.
Il y a ce sourire, ce sourire joueur qui savoure tout le reste.
Et il y a ces dents qui mordent pour faire apparaître un regard mystérieux, coquin.
lundi 3 mars 2008
mercredi 9 janvier 2008
Au pied de l'église
Il pleut tu aussi à Rimouski?
C'est un temps à se coller et à se donner des bisous dans le cou. À se mettre tout nu en-dessous de couvertures douce comme ta peau et d'écouter le bruit de la pluie. Mon sourire mettrait un sourire sur ton visage et le tien donnerait une raison d'être au mien.
L'imposante stature de l'édifice devant moi me fige sur place. Je me déplace à grand peine sous l'oeil attentif des portes plus grandes que des trolls et des fenêtres d'où tous les monstres de la Terre me surveillent. Et les coins sombres sur les côtés cachent des milliers d'insectes porteurs de la peste.
Mais si t'étais là, cette grandeur deviendrait un jeu, une protection additionnelle à ta présence. Les trolls seraient de mon côté; les monstres, gentils comme tout. Et les insectes de la mort deviendraient magiquement les simples spectateurs de tes lèvres sur les miennes; de tes mains sur ma peau.
Puis, l'eau sous nos pieds nous ferait rire aux éclats. Nous plongerions dedans et nous serions heureux pour toujours.
Parce que nous serions ensemble.
C'est un temps à se coller et à se donner des bisous dans le cou. À se mettre tout nu en-dessous de couvertures douce comme ta peau et d'écouter le bruit de la pluie. Mon sourire mettrait un sourire sur ton visage et le tien donnerait une raison d'être au mien.
L'imposante stature de l'édifice devant moi me fige sur place. Je me déplace à grand peine sous l'oeil attentif des portes plus grandes que des trolls et des fenêtres d'où tous les monstres de la Terre me surveillent. Et les coins sombres sur les côtés cachent des milliers d'insectes porteurs de la peste.
Mais si t'étais là, cette grandeur deviendrait un jeu, une protection additionnelle à ta présence. Les trolls seraient de mon côté; les monstres, gentils comme tout. Et les insectes de la mort deviendraient magiquement les simples spectateurs de tes lèvres sur les miennes; de tes mains sur ma peau.
Puis, l'eau sous nos pieds nous ferait rire aux éclats. Nous plongerions dedans et nous serions heureux pour toujours.
Parce que nous serions ensemble.
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